|
Après le nu académique, la nature morte, le paysage et la
marine, la « Petite Reine » est un thème qui inspire
abondamment les artistes peintres de tous les bords, de tous
les mouvements, de tous les styles, de tous les temps,
utilisant les supports (toile, etc.), les outils (couteau,
etc.), les techniques et procédés picturaux les plus divers.
Dès lors, ne vous étonnez pas de retrouver au panthéon de la
peinture, un tableau du maître et fondateur de
l’impressionnisme, Claude Monet (1840-1926),
représentant son fils Jean sur un cheval mécanique dans le
jardin de sa maison à Argenteuil. Le tableau a été exécuté
en 1872 c’est-à-dire deux ans avant la première
manifestation de l’impressionnisme.
Un autre monstre sacré de l’entre-deux-guerres est allé
jusqu’à peindre une série intitulée « Les Cyclistes ».
Le regard artistique de Fernand Léger
(1881-1955), amené au cubisme par les œuvres de Cézanne,
évolua tout au long de son existence en fonction des
événements et de son lieu de résidence. Les Quatre
Cyclistes posent au cours d’une fête. Le balayage des
projecteurs lui donne l’idée de séparer la couleur du dessin
figuratif. Comme il avait été impressionné par le jeu des
projecteurs publicitaires dans les rues de New-York, il fit
en sorte de reproduire cette sensation sur la toile. Mais
laissons l’auteur s’exprimer lui-même : « je parlais à
quelqu’un, il avait la figure bleue, puis vingt secondes
plus tard, il devint jaune…cette couleur-là…elle était
libre, elle était dans l’espace. J’ai voulu faire la même
chose dans mes toiles. »
Un autre dinosaure de la peinture deviendra un passionné de
la petite reine : il s’agit d’Henri de Toulouse
Lautrec (1864-1901). Il monta à Paris en 1882 où
il fit la connaissance de Tristan Bernard, rédacteur en chef
du « Journal des Vélocipédistes ». Ce dernier, en
devenant directeur du vélodrome de Buffalo en 1895,
l’introduira dans le milieu de la course cycliste.
Kees Van Dongen
(1877-1968), le portraitiste du Tout-Paris « le peintre des
névroses galantes », peignit en 1947 « La bicyclette sous
la pluie ». Une toile qui ne fait probablement pas
l’unanimité.
Et comme ultime exemple à mon préalable, il me plaît
d’évoquer « l’Acrobate à la bicyclette » de
Bernard Buffet (1928-1999). Une peinture qui
reflète le drame existentiel qui renvoie une image que
l’être humain exècre : la sienne. L’artiste témoigne
puissamment du désarroi qui existait pendant les années
cinquante et exprime l’inaction de ses personnages, leur vie
absurde, comme un mal dont le contemporain était lui-même
victime.
Ces artistes peintres connus et reconnus ne sont pas les
seuls à avoir mis la bicyclette en évidence. Ainsi, on
relève encore le maître du surréalisme, Salvador Dali
(1904-1989) qui met son grain de sel dans l’annonce
de « Babaouo », une affiche d’un film surréaliste
tourné en collaboration avec Buñuel.
Tous ces artistes peintres de renom m’avaient donné l’idée
de reproduire en un vaste dossier toutes les peintures,
dessins, aquarelles et autres collages traitant l’aspect de
la bicyclette. Un projet qui s’est très vite avéré
impossible, fastidieux et tout à fait dénué d’intérêt. Car
avec l’avènement du Pop Art, du printmaking et des autres
courants picturaux, les galeries d’art croulent sous le
poids des œuvres qui représentent des vélos. A l’heure
actuelle, les vélos bleus, rouges et verts saturent les
murs des salles d’exposition. A supposer que tous les
peintres contemporains aient eu un jour un coup de cœur pour
une bécane.
Des artistes, tels que Taliah Lempert ou
Marina Sissa par exemple, en produisent des
séries industrielles. De toutes les couleurs, de toutes les
formes. Mais beaucoup trop souvent, il s’agit de
représentation statique et inerte. Une bicyclette sans âme,
une nature morte !
Or, vélo ne rime-t-il pas avec mouvement ? N’est-ce pas
Albert Einstein qui affirmait que pour garder
l’équilibre à vélo, il fallait nécessairement se mouvoir !
C’était la Belle Epoque ! Rien n’était impossible ! Nous
étions au début du 20e siècle, une époque
passionnante où les fondements intimes de la physique
étaient ébranlés par deux nouvelles théories importantes :
la relativité et la mécanique quantique.
.jpg)
En 1905, à l’époque où Albert Einstein planche sur le
mouvement brownien et dévoile sa théorie de la relativité
restreinte, l’aventure d’un nouveau mouvement littéraire et
artistique prend son envol : le futurisme.
Le mouvement, né en Italie sous l’impulsion du poète
Marinetti, se veut un mouvement capable d’embrasser tous les
aspects de la culture. Plus encore, il se veut un art de
vivre. Il prône l’amour de la vitesse, de la violence, de
la machine, le mépris de la femme, la guerre comme seule
hygiène du monde définissant la nouvelle peinture comme un
« art dynamique » à l’image du monde qui évoluait à une
vitesse folle. Dans les années 1910, les peintres
futuristes représentent des voitures et des vélos ; dans les
années 30, ce sera l’avion. Leur but, c’est de mettre en
évidence le bruit et les couleurs que le mouvement et la
vitesse impliquent. C’est la raison pour laquelle on ne
trouve trace d’aucun nu, ni nature morte ou paysage chez
eux. Le dénouement de ce mouvement sera tragique puisqu’en
devenant art officiel fasciste sous Mussolini et il
disparaîtra avec lui.
Quoi qu’il en soit et bien que toute représentation
artistique soit louable en soi, je préfère donc le vélo
dynamique au vélo statique.
En conséquence, je vous propose de passer en revue les
œuvres de quelques peintres futuristes qui se sont attachés
à glorifier la « Petite Reine ».
.jpg)
Umberto Boccioni
(1882-1916)
Considéré comme le « prince des futuristes » par Marcel
Duchamp, Umberto Boccioni est un artiste italien qui est
l’une des figures principales du mouvement futuriste mais
aussi le théoricien du groupe pour les arts plastiques. Il
préconisait un complémentarisme de la forme et de la
couleur. A savoir, faire la synthèse des analyses de la
couleur et celle de la forme. Sans entrer dans les détails,
je résumerais que son but était d’unir la technique de
Seurat (le pointillisme) à celle de Picasso (le cubisme).
.jpg)
Gino Severini
(1883-1966)
Signataire du Manifeste de la peinture futuriste en
1910. Etabli à Paris dès 1906, il assume un rôle important
dans la diffusion du mouvement en France. « Le Cycliste »,
peint en 1956, rappelle ses attaches au pointillisme et au
cubisme. Toutefois, à la différence des autres futuristes,
bien que lui-même interpellé par la vitesse et le dynamisme
de la vie moderne, il préfère aux engins motorisés la figure
humaine en mouvement, ainsi que les natures mortes. Son art
évoluera tout au long de sa vie à telle enseigne que
pointilliste à ses débuts, il subit l’influence du cubisme
et du futurisme pour expérimenter après les années 20, le
style figuratif néo-classique. Après 1950, il réalisera
même quelques tableaux abstraits.
Gerardo Dottori
(1884-1977)
Signataire du « Manifesto dell’Aeropittura » en
1929. Connu pour ses fresques murales. Il est resté fidèle
au mouvement futuriste toute sa vie.
« Mediante gli stati d’animo delle velocità aeroplaniche ho
potuto creare il paesaggio terrestre isolandolo fuori tempo-spazio
nutrendolo di cielo per modo che diventasse paradiso »
« Grâce à la dynamique dégagée par la vitesse de l’avion,
j’ai pu créer le paysage terrestre détaché de la notion
espace-temps du ciel pour qu’il devienne le paradis ».
Cette citation du peintre ressemble fort à un clin
d’œil adressé à A. Einstein pour sa relativité restreinte !
Fortunato Depero
(1892-1960)
Décorateur, designer de renom, metteur en scène et peintre.
En 1915, il publie avec Giacomo Balla un manifeste intitulé
« Ricostruzione futurista dell’universo ». Un de ses
thèmes préférés sera de mettre en évidence l’importance des
éléments mécaniques par une transposition systématique du
corps humain en marionnette. Très actif dans la décoration
du milieu théâtral, il déploya également une grande activité
littéraire en publiant de nombreux manifestes.
.jpg)
Enrico Prampolini
(1894-1956)
Après les premiers essais sous le signe du dynamisme de
Boccioni, il assurera la liaison avec d’autres œuvres
d’avant-garde internationale grâce à son magazine « Nous ».
Eminent représentant de la deuxième vague futuriste,
l’artiste occupe une place prépondérante dans le paysage
européen de l’art abstrait. Il se caractérise par son
profond intérêt pour le dynamisme.
.jpg)
Luigi Colombo,
dit Fillia (1904-1936)
Le mythe de la machine est à la base de ses premières
œuvres. En 1927, il rejoint le carré parisien de
l’avant-garde européenne. C’est dans ces mêmes années que
sa peinture se rapproche beaucoup de celle de Prampolini. A
partir de 1932, il se lança dans une série de peintures
monumentales et de décorations murales. Son art s’oriente
vers un langage abstrait.
.jpg)
Enzo Benedetto
(1905-1991)
Il est l’un des tous derniers artistes à se rattacher au
mouvement futuriste crée par T. Marinetti et U. Boccioni en
1909. Natif de Reggio di Calabria, il rejoint Rome en 1931
et adhère aussitôt au « Manifesto dell’Aeropittura »
qui prône le développement de la poésie futuriste dans
laquelle l’avion est la nouvelle référence de la perception
futuriste. De 1950 jusqu’à sa mort, il mettra toute son
énergie au service de la survie du Futurisme en créant les
revues « « Arte Viva » et « Futurismo Oggi ».
Renato Di Bosso
(1905-1982)
Influencé par Boccioni en 1930, il exécute à la même époque
sa première œuvre pastique synthétique futuriste.
Avec Scurto, il coécrit, en 1933, le « Manifesto
futurista sulla cravatta e il macchinesimo ». Il expose
à Venise et à Rome. En 1942, il publie avec Alfredo Gauro
Ambrosi un ouvrage intitulé « Eroi macchine ali contro
nature morte ».
Roberto Baldessari
(1894-1965)
Né à Innsbruck, la famille déménage à Rovereto peu après sa
naissance suite à des émeutes anti-italiennes. Son père y
acquiert le « Caffè Accademia » qui devient très vite
un centre d’irrédentisme qui revendique l’annexion des
territoires de langues italiennes. Roberto adhère au
mouvement futuriste en 1914 et devient l’élève de Boccioni.
Sortie en 1962 d’une monographie du critique Riccardo Maroni
qui rend hommage au peintre et au graveur.
Mario Sironi
(1885-1961)
Il dessinait sans cesse, au crayon et à la plume, et cette
activité compulsive s’est surtout traduite par la pratique
du portrait. Dans une série d’autoportraits de jeunesse,
entre 1908 et 1910, la rapidité du dessin n’a pas pour but
que d’exprimer une nouvelle modalité de la perception, qui
se fonde désormais sur la vitesse, comme chez Boccioni –
dont il est proche – mais opère plutôt par la déformation,
une caractéristique qui s’affirmera dans sa production
proprement futuriste.
.jpg)
Natalia Gontcharova
(1881-1962)
Une artiste russe de l’avant-garde, naturalisée française en
1939. L’arrière-petite-fille d’Alexandre Pouchkine touche à
tous les styles de peinture avant son trentième
anniversaire : impressionnisme, cubisme, futurisme,
néo-primitivisme, rayonnisme. Peintre, dessinatrice,
illustratrice, décoratrice, créatrice de costumes de
théâtre, en compagnie de son mari Larionov, elle fut une
figure prépondérante dans les succès obtenus par les Ballets
russes de Diaghilev.
.jpg)
Salvatore Scarpitta
(1919-2007)
Il est né à New-York, grandit à Los Angeles et fréquente la
plus grande université d’art d’Europe c'est-à-dire l’Accademia
di Belle Arti di Roma.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, il est chargé par la
Marine Américaine de préserver et de cataloguer les œuvres
d’art confisquées par les Nazis. Il est aussi connu pour
avoir travaillé pour la principale galerie moderne d’art
d’avant-garde en Italie.
Après ce large tour d’horizon futuriste, un mouvement axé
principalement sur le dynamisme et la vitesse, qu’en est-il
à l’heure actuelle de la peinture ayant le vélo comme
thème ?
.jpg)
Hormis quelques exceptions comme Alexandre Fassianos,
Jacques Paoletti, Malcolm
Fairley, Jo Ann Hovet ou autre
Claude Le Boul qui sont des artistes reconnus,
auxquels j’associe les obscurs créateurs de logos et
d’affiches, rares sont les peintres qui donnent un véritable
effet de mouvement à leurs créations. Même si on trouve
encore par hasard une composition cubo-futuriste telle que
celle de Jasper Geers. Raison pour laquelle
toute mon admiration est adressée à des créateurs japonais
comme Ko Masuda et Shigeki Kuroda.
.jpg)
Shigeki Kuroda
Mon deuxième coup de cœur toutefois, je le réserve à
Hajime Kato (1925-2000), un autre artiste nippon
qui, en créant petit à petit son style propre, a permis au
mouvement futuriste de perpétuer le concept de dynamisme
grâce aux nouvelles technologies artistiques du 21e
siècle.
A une différence près. Autrefois, les peintres futuristes,
pour exprimer le mouvement, selon la sensibilité de leur
temps, représentaient par exemple l’allure d’un cycliste par
les phases successives du mouvement des roues alignées sur
une même toile, comme si on avait reproduit une succession
d’instantanés photographiques. Mais ce qui était dessiné,
était tout de même « l’objet » - les roues du vélo – et les
traces de son image fixées sur la rétine. Le monde créatif
de Kato efface toute trace d’objet et nous communique
directement la sensation de l’envol en dépassant son
existence matérielle.
Son génial coup de pinceau m’invite à consacrer un petit mot
d’explication sur ce personnage hors du commun afin de mieux
pénétrer sa pensée, son interprétation expressive.
Hajime Kato sera animé la vie entière par deux passions : le
cyclisme et la peinture. Le cycliste professionnel de keirin
des débuts finira un jour par s’élever au poste de
vice-président de la Fédération internationale de cyclisme
professionnel ce qui est un parcours atypique pour un
artiste peintre d’abstraction lyrique.
A l’âge de 33 ans (cf.
http://www.cyclojose.be/Pedalealapatte.html), il quitte
le Japon et s’installe à Paris à l’ombre des Renoir, Monet
et autres Picasso.
Comme les futuristes de la seconde vague, il commence à
croquer des avions. Il fait partie de ces artistes qui
depuis 1940 se sont appliqués à la recherche de la
composition rythmée sans craindre l’effet décoratif.
C’est vers la fin des années 60 qu’il s’achemine vers un
style personnel.
Sa peinture puise aux sources de la spiritualité japonaise.
Elle ne nie ni le rationnel, ni l’irrationnel, ni
l’intellect ni les émotions. Elle invite à expérimenter
directement au-delà des images. Parmi les éléments
essentiels qui composent ses tableaux se détachent les
formes fuselées aux pointes acérées capables de fendre
l’air. Ces lignes et ces formes, qui contiennent une
intense sensation de vitesse, suggèrent des mouvements
dynamiques et donnent le sentiment de voler dans un espace
infini sans pour autant que « l’objet » soit peint.
Il aimait à répéter que sur une piste, il existait une ligne
d’arrivée, alors qu’en peinture, aucune fin n’était
envisageable. Par ailleurs, dans son autobiographie, on
découvre une citation analogue à celle d’Albert Einstein qui
dit : « …Toute ma vie, je n’ai fait que continuer à
courir, car sinon, je serais tombé. »
Un dernier mot. Comme Kato était un artiste polyvalent, il
a peint aussi des tableaux figuratifs de paysages,
d’avions,…
Ce qui m’apparaît important, c’est que « la Sensation de
l’Envol » de Kato ait ouvert une voie royale aux
nouvelles technologies de graphisme.
La peinture est en constante évolution. Il y a plusieurs
siècles déjà la technique à l’huile révolutionnait la
peinture et plus récemment les pigments synthétiques qui
faisaient leur entrée dans la boîte de couleurs du peintre,
ouvraient grandes les portes à ce qui allait devenir
l’impressionnisme. De nos jours, ça change encore ! De
nombreux artistes utilisent des acryliques, d’autres
préfèrent les dérivés pétroliers aux résines végétales, etc.
.png)
La photo peinture (ou pix peinture) complète maintenant la
gamme des choix artistiques mis à la disposition des
peintres contemporains qui visent une plus grande liberté de
création. Elle est une expression picturale sur toile
réalisée à partir de documents photographiques digitalisés.
Elle est toujours et obligatoirement une œuvre unique et par
conséquent, à ne pas confondre avec une image de synthèse.
.jpg)
Avant de développer la photo peinture, un mot sur le « printmaking »
puisque le principe a été évoqué quelques paragraphes plus
haut. Il s’agit d’un procédé de fabrication des œuvres d’art
par impression. Un processus qui permet de produire des
multiples de la même pièce, chaque copie néanmoins étant
considérée comme un original. L’impression « Giclee print»
suppose un grand pas en avant dans la technologie du « printmaking ».
Les gravures sont générées à partir d’images en haute
résolution numérique et imprimées avec des encres de qualité
sur divers supports dont la toile. Ce processus est
supérieur à bien d’autres moyens de reproduction et remplace
petit à petit les lithographies. En fin de fabrication,
elles sont montées et tendues sur des châssis en bois comme
un tableau traditionnel.
Retour à la « pix-peinture ». L’œuvre pix-peinte est une
toile peinte comme les autres. Et si ce n’était la
remarquable finesse de détails jamais vus jusqu’à ce jour,
rien ne distinguerait la pix-peinture des autres expressions
de la peinture contemporaine. En outre, du travail de deux
pix-peintres, il ne faut pas s’attendre à une quelconque
ressemblance de style, car la pix-peinture n’est tout au
plus qu’un nouvel outil mis à la disposition des artistes.
C’est pourquoi, sous la même dénomination de pix-peinture,
certains artistes trouveront-ils avantage de s’exprimer dans
l’abstraction quand d’autres s’exprimeront dans la
figuration…
Comme toujours, dans tous les domaines, il y a un génie qui
se démarque de son entourage. Ce sera mon troisième et
dernier coup de cœur. La dynamique du vélo n’a pas échappé
à la règle en la personne de Saro Di Bartolo.
Voilà en résumé une allocution tenue par le professeur de
psychologie, Pino Parini :
« Saro Di Bartolo est un maniaque du détail, ses photos se
distinguent par la valeur de leur composition. Il est
attentif au moindre détail de cadrage…Sa quête de la
recherche de la divine proportion constitue le fil rouge de
son existence » (Ndrl. traduction libre).
.JPG)
En résumé, je pense sincèrement que le vélo a encore de
beaux jours devant lui !
En effet…
La continuité de la peinture est assurée car elle prendra
toujours des formes nouvelles pour émerveiller les âmes
sensibles.
1 -2
-3
-4
-5
-6
-7
bruffaertsjo@skynet.be
|
|